Posted by Charleston Voice, 06.06.12
Friends, this can get real nasty. We see from reading the pdf memorandum from GATA that the US Treasury is obedient to the US Federal Reserve System, a private bank syndicate. In effect, we have a tail wagging the economic destiny of our country! Too many other horrors to mention.
From page 243 (in 1991) German Chancellor Helmut Schmidt addresses the elite of the world at a lakeside talk. Helmut Schmidt, in his own autobiography, "Men and Powers, a Political Retrospective, says that he is a member of the Council on Foreign Relations, the Trilateral Commission and the Bilderberg group. He also says that he has been an active participant in bringing in world government. Mr. Schmidt also said in his book that leaders from globalist bodies travel to the Grove every summer. He talks about secret groves in Germany where they do druidic rituals, but indicates that Bohemian Grove is his favorite place to participate in these rituals. Source
Friends, this can get real nasty. We see from reading the pdf memorandum from GATA that the US Treasury is obedient to the US Federal Reserve System, a private bank syndicate. In effect, we have a tail wagging the economic destiny of our country! Too many other horrors to mention.
From page 243 (in 1991) German Chancellor Helmut Schmidt addresses the elite of the world at a lakeside talk. Helmut Schmidt, in his own autobiography, "Men and Powers, a Political Retrospective, says that he is a member of the Council on Foreign Relations, the Trilateral Commission and the Bilderberg group. He also says that he has been an active participant in bringing in world government. Mr. Schmidt also said in his book that leaders from globalist bodies travel to the Grove every summer. He talks about secret groves in Germany where they do druidic rituals, but indicates that Bohemian Grove is his favorite place to participate in these rituals. Source
Exclusive: Fed Memorandum related to Gold Price Suppression in French and German
Juni 6th, 2012
Kommentare deaktiviert from LarsSchall
The
Bavarian chapter of the German Taxpayer Association has translated an
eminently important Fed memorandum by Arthur Burns for the campaign to
repatriate Germany’s gold into the French and German language in order
to counter one aspect of the continued falsehoods by German officials
related to the storage of the German gold deposits in the U.S.
By Lars Schall
The website of the repatriation campaign is:
http://www.gold-action.de/action-sign-up.html.
Please find below some links with regards to the above mentioned document which contains facts about the gold price manipulation as well as a secret agreement between the Fed and the Deutsche Bundesbank / Helmut Schmidt in 1975.
The by then-secret memorandum written by Arthur Burns to then-US President Gerald Ford on June 3, 1975 is translated by now for the first time into French and German.
The memorandum can be found in the Ford Presidential Library here:
White House Central Files, FI – Finance, FI 9 Monetary Systems, Box 23, Folder FI 9 1/16/75 – 6/30/75.
Related to the authenticity of the memorandum and for further explanations see:
http://www.larsschall.com/2011/11/14/former-german-chancellor-silent-on-fed-memo-linking-him-to-gold-suppression/, and:
http://www.larsschall.com/2011/11/18/ford-libary-confirms-fed-letter-tying-germany-to-gold-price-suppression/.
A PDF of the memorandum is available at the website of the Gold Anti-Trust Action Committee under this link:
http://www.gata.org/files/FedArthurBurnsOnGold-6-03-1975.pdf.
The German translation can be found exclusively here:
http://www.larsschall.com/2012/06/05/woran-sich-helmut-schmidt-nicht-erinnern-kann/.
Here follows now for the first time the officially approved French version of the memorandum:
Lors des préparations préliminaires à la réunion du Comité intérimaire du Fonds monétaire international les 10 et 11 juin, la Réserve Fédérale et le Trésor se sont entendus sur tous les aspects d’une position américaine, sauf sur un point. Mais ce point est d’une importance cruciale. La manière dont il sera résolu pourrait bien déterminer la forme des arrangements monétaires mondiaux et ainsi affecter nos intérêts économiques et politiques pour la prochaine génération.
Le point précis de la controverse
est de savoir s’il faut permettre ou non aux gouvernements individuels
d’augmenter leurs avoirs en or au-delà d’un plafond déterminé (les
avoirs réels au 1er mai 1975, par exemple). Le Trésor est
prêt à accepter, comme le préconise fermement le gouvernement français,
qu’il n’y ait aucun plafond sur les avoirs en or d’un gouvernement
individuel. La Réserve Fédérale estime qu’il est essentiel que chaque
pays ait son plafond individuel et que les Etats-Unis ne devraient pas
accepter de nouveaux arrangements internationaux sur l’or, à moins
qu’ils n’y incluent de tels plafonds.
La position de la Réserve Fédérale sur l’or s’appuie sur quatre points principaux:
Premièrement, il n’y a actuellement
aucun problème pratique impératif nécessitant une action rapide sur la
question de l’or. Des établissements d’emprunt non négligeables sont à
disposition pour aider les pays à compenser un besoin urgent éventuel de
financement de leur balance de paiements. Les pays nécessitant
d’utiliser leur avoir en or peuvent vendre de l’or sur le marché ou
prévoir de l’utiliser comme assurance pour des prêts. Le report d’une
prise de décision sur les questions d’or actuellement en suspens ne pose
par conséquent aucun problème sur le plan économique.
Deuxièmement, jusqu’à ce que nous-mêmes et d’autres pays ayons forgé un véritable consensus sur la forme souhaitée du futur système mondial monétaire, nous ne devrions pas isoler la question de l’or et la traiter en dehors des autres points critiques de la réforme monétaire. Aller de l’avant sur la question de l’or en l’absence d’un tel consensus pourrait être inopinément néfaste en ce qui concernant la forme du futur système monétaire.
Troisièmement, l’élimination précoce des contraintes actuelles sur les transactions d’or intergouvernementales et sur les achats officiels sur le marché privé pourrait bien engendrer des courants et des interventions qui contribueraient à augmenter l’importance relative de l’or au sein du système monétaire. En fait, nous avons lieu de croire que les Français, avec le soutien d’un ou deux pays de moindre importance, sont en quête d’un tel résultat.
Les pays comme la France, opposés à des plafonds sur leurs avoirs en or individuels, veulent sans aucun doute être libres d’acheter de l’or sur le marché privé pour soutenir le prix du marché. C’est un secret de polichinelle entre les banquiers de la banque centrale qu’ultérieurement, les Français et quelques autres pays pourraient bel et bien vouloir stabiliser le prix du marché dans une certaine mesure.
Vu l’évolution de la politique de
notre gouvernement sur l’or, la Réserve Fédérale a cherché à éviter de
prendre une position rigide. Je me suis efforcé de tenter de concilier
le point de vue français et le nôtre:
Premièrement, j’ai accepté à contrecœur la restitution partielle des avoirs en or du Fonds monétaire international aux pays membres; cette mesure, fortement souhaitée par la France, permettrait d’accroître les réserves d’or de la France et d’autres pays, mais affaiblirait le FMI lui-même.
Deuxièmement, j’ai proposé une concession majeure, à savoir qu’un gouvernement peut acheter de l’or d’un autre gouvernement, indépendamment de son plafond, si l’achat répond à un besoin d’urgence du gouvernement vendeur de mobiliser ses avoirs en or; cette concession prévoit aussi qu’un gouvernement qui vendu de l’or dans des conditions d’urgence puisse racheter ce montant d’un autre gouvernement sans engager la clause d’urgence.
J’ai même été prêt à aller plus
loin. J’ai consulté Henry Kissinger pour savoir s’il existe une
contrepartie de nature politique que nous voudrions éventuellement
obtenir des Français en échange de leur acceptation d’une partie ou de
la totalité de leur position souhaitée sur l’or. Mais Henry me dit qu’il
n’y en a aucune à l’heure actuelle. Les Français sont très soucieux
d’une prise de décision sur les problèmes de l’or allant dans leur sens
et ils seront probablement prêts à payer beaucoup pour arriver à leurs
fins. Bien que nous ne donnerons jamais gain de cause aux positions des
Français sur l’or, nous devrions au moins utiliser notre pouvoir de
négociation pour en tirer l’un ou l’autre avantage politique majeur.
Si la position des Etats-Unis sur la question de l’or ne parvenait pas à satisfaire les Français au cours des négociations internationales courantes, y aurait-t-il des conséquences économiques ou politiques défavorables? J’en doute, pour deux raisons. Premièrement, d’autres pays européens (les Allemands et les Britanniques notamment) sont peu susceptibles de se rallier aux Français sur une politique européenne unilatérale sur la question l’or. J’ai conclu un accord secret par écrit avec la Bundesbank – approuvé par M. Schmidt – précisant que l’Allemagne n’achètera pas d’or, ni sur le marché ni d’un autre gouvernement, à un prix supérieur au prix officiel de 42,22 $ l’once. Deuxièmement, les chances d’une « réussite » des négociations à Paris la semaine prochaine me semblent relativement bonnes, même s’il n’est pas possible d’obtenir l’approbation des Français concernant un plafond individuel d’avoir d’or par pays et d’autres aspects de la position américaine sur l’or. Les pressions politiques pour parvenir à un accord sur les augmentations des quotas du FMI sont grandes. Un forfait incluant ces augmentations de quotas et certains autres points relativement peu controversés, à l’exclusion cependant d’un accord sur l’or, semble réalisable et devrait être acceptable pour les États-Unis.
Somme toute, je suis convaincu que la meilleure position que nous puissions de loin adopter en ce moment est de résister à des arrangements laissant d’amples pouvoirs aux banques centrales et aux gouvernements pour acheter de l’or à un prix lié au marché.
Autant que je sache, cette position est soutenue par le Japon, le Royaume-Uni, certains autres pays développés et par la plupart sinon tous les pays en voie de développement. Cette position requiert également un soutien solide dans notre propre pays au sein des communautés financières et académiques sensibles à ces questions. Il s’ensuivrait inévitablement de sévères critiques de la part de tous les experts financiers renommés et influents si la position actuelle du Trésor triomphait.
By Lars Schall
The website of the repatriation campaign is:
http://www.gold-action.de/action-sign-up.html.
Please find below some links with regards to the above mentioned document which contains facts about the gold price manipulation as well as a secret agreement between the Fed and the Deutsche Bundesbank / Helmut Schmidt in 1975.
The by then-secret memorandum written by Arthur Burns to then-US President Gerald Ford on June 3, 1975 is translated by now for the first time into French and German.
The memorandum can be found in the Ford Presidential Library here:
White House Central Files, FI – Finance, FI 9 Monetary Systems, Box 23, Folder FI 9 1/16/75 – 6/30/75.
Related to the authenticity of the memorandum and for further explanations see:
http://www.larsschall.com/2011/11/14/former-german-chancellor-silent-on-fed-memo-linking-him-to-gold-suppression/, and:
http://www.larsschall.com/2011/11/18/ford-libary-confirms-fed-letter-tying-germany-to-gold-price-suppression/.
A PDF of the memorandum is available at the website of the Gold Anti-Trust Action Committee under this link:
http://www.gata.org/files/FedArthurBurnsOnGold-6-03-1975.pdf.
The German translation can be found exclusively here:
http://www.larsschall.com/2012/06/05/woran-sich-helmut-schmidt-nicht-erinnern-kann/.
Here follows now for the first time the officially approved French version of the memorandum:
LE PRÉSIDENT DU CONSEIL DES GOUVERNEURS
RESERVE FEDERALE
WASHINGTON, D. C. 20551
Le 3 juin 1975
Strictement confidentiel (FR)
MEMORANDUM A L’ADRESSE DU PRÉSIDENT
De: Arthur F. BurnsLors des préparations préliminaires à la réunion du Comité intérimaire du Fonds monétaire international les 10 et 11 juin, la Réserve Fédérale et le Trésor se sont entendus sur tous les aspects d’une position américaine, sauf sur un point. Mais ce point est d’une importance cruciale. La manière dont il sera résolu pourrait bien déterminer la forme des arrangements monétaires mondiaux et ainsi affecter nos intérêts économiques et politiques pour la prochaine génération.
La question cruciale à
débattre est de savoir si les banques centrales et les gouvernements
doivent être libres d’acheter de l’or, entre eux ou sur le marché privé,
à des prix liés au marché. (Les prix sur le marché ont récemment été de
l’ordre de 160 $ à 175 $ l’once, le prix officiel étant de 42.22 $
l’once.) Le Trésor est prêt à accorder plus de liberté pour ce genre de
transactions. La Réserve Fédérale y est opposée.
Le communiqué du Comité
intérimaire du Fonds monétaire international de janvier 1975, un
document reconnu sur le plan international, stipulait que la liberté
pour les autorités monétaires nationales de conclure des transactions
sur l’or devrait «garantir que le rôle de l’or dans le système monétaire
international diminue petit à petit ». Les plafonds individuels de
chaque pays sur les avoirs en or, applaudis par la Réserve Fédérale,
contribueraient à cet objectif. La position du Trésor, elle, sera
interprétée par beaucoup comme un pas en arrière par rapport à l’accord
de janvier.
La position de la Réserve Fédérale sur l’or s’appuie sur quatre points principaux:
Deuxièmement, jusqu’à ce que nous-mêmes et d’autres pays ayons forgé un véritable consensus sur la forme souhaitée du futur système mondial monétaire, nous ne devrions pas isoler la question de l’or et la traiter en dehors des autres points critiques de la réforme monétaire. Aller de l’avant sur la question de l’or en l’absence d’un tel consensus pourrait être inopinément néfaste en ce qui concernant la forme du futur système monétaire.
Troisièmement, l’élimination précoce des contraintes actuelles sur les transactions d’or intergouvernementales et sur les achats officiels sur le marché privé pourrait bien engendrer des courants et des interventions qui contribueraient à augmenter l’importance relative de l’or au sein du système monétaire. En fait, nous avons lieu de croire que les Français, avec le soutien d’un ou deux pays de moindre importance, sont en quête d’un tel résultat.
Les pays comme la France, opposés à des plafonds sur leurs avoirs en or individuels, veulent sans aucun doute être libres d’acheter de l’or sur le marché privé pour soutenir le prix du marché. C’est un secret de polichinelle entre les banquiers de la banque centrale qu’ultérieurement, les Français et quelques autres pays pourraient bel et bien vouloir stabiliser le prix du marché dans une certaine mesure.
J’estime par conséquent
que la position recommandée par le Trésor risque d’involontairement
favoriser ou tout au moins de laisser place à une augmentation de
l’importance relative de l’or au sein du système monétaire.
Quatrièmement, une
grande liberté pour les gouvernements de négocier l’or à un prix lié au
marché peut facilement contrecarrer les efforts déployés pour contrôler
la liquidité mondiale. Une telle liberté inciterait par exemple les
gouvernements à réévaluer leurs avoirs en or officiels, à un prix lié au
marché. (La France l’a déjà fait.) Ceci pourrait alors ajouter jusqu’à
150 milliards de dollars à la valeur nominale des réserves des pays. La
création de liquidité d’une telle ampleur mettrait sérieusement en
danger, voire réduirait à néant, nos efforts et ceux d’autres nations
prudentes en vue de maîtriser raisonnablement l’inflation. Ceci est une
question de grande préoccupation pour M. Witteveen, le directeur du FMI,
et pour beaucoup d’autres experts financiers.
Premièrement, j’ai accepté à contrecœur la restitution partielle des avoirs en or du Fonds monétaire international aux pays membres; cette mesure, fortement souhaitée par la France, permettrait d’accroître les réserves d’or de la France et d’autres pays, mais affaiblirait le FMI lui-même.
Deuxièmement, j’ai proposé une concession majeure, à savoir qu’un gouvernement peut acheter de l’or d’un autre gouvernement, indépendamment de son plafond, si l’achat répond à un besoin d’urgence du gouvernement vendeur de mobiliser ses avoirs en or; cette concession prévoit aussi qu’un gouvernement qui vendu de l’or dans des conditions d’urgence puisse racheter ce montant d’un autre gouvernement sans engager la clause d’urgence.
Troisièmement, désireux
d’un rapprochement de l’idée française, j’ai proposé la possibilité
d’une relevée du plafond pour les avoirs en or de chaque pays (de 100
pour cent à 105 pour cent des avoirs réels au 1er mai 1975, par exemple).
Si la position des Etats-Unis sur la question de l’or ne parvenait pas à satisfaire les Français au cours des négociations internationales courantes, y aurait-t-il des conséquences économiques ou politiques défavorables? J’en doute, pour deux raisons. Premièrement, d’autres pays européens (les Allemands et les Britanniques notamment) sont peu susceptibles de se rallier aux Français sur une politique européenne unilatérale sur la question l’or. J’ai conclu un accord secret par écrit avec la Bundesbank – approuvé par M. Schmidt – précisant que l’Allemagne n’achètera pas d’or, ni sur le marché ni d’un autre gouvernement, à un prix supérieur au prix officiel de 42,22 $ l’once. Deuxièmement, les chances d’une « réussite » des négociations à Paris la semaine prochaine me semblent relativement bonnes, même s’il n’est pas possible d’obtenir l’approbation des Français concernant un plafond individuel d’avoir d’or par pays et d’autres aspects de la position américaine sur l’or. Les pressions politiques pour parvenir à un accord sur les augmentations des quotas du FMI sont grandes. Un forfait incluant ces augmentations de quotas et certains autres points relativement peu controversés, à l’exclusion cependant d’un accord sur l’or, semble réalisable et devrait être acceptable pour les États-Unis.
Somme toute, je suis convaincu que la meilleure position que nous puissions de loin adopter en ce moment est de résister à des arrangements laissant d’amples pouvoirs aux banques centrales et aux gouvernements pour acheter de l’or à un prix lié au marché.
Autant que je sache, cette position est soutenue par le Japon, le Royaume-Uni, certains autres pays développés et par la plupart sinon tous les pays en voie de développement. Cette position requiert également un soutien solide dans notre propre pays au sein des communautés financières et académiques sensibles à ces questions. Il s’ensuivrait inévitablement de sévères critiques de la part de tous les experts financiers renommés et influents si la position actuelle du Trésor triomphait.
Enfin, permettez-moi de
faire remarquer que la position du Trésor sur l’or devra être rendue
publique à l’issue d’audiences du Congrès, dès que d’éventuelles
modifications des statuts du FMI seront soumises à approbation. J’estime
que M. Reuss, qui est un leader sur les questions de ce type, dénoncera
la position du Trésor sur l’or dès qu’il l’aura comprise. Une raison de
plus pour que vous réfléchissiez très attentivement à la question de
l’or.
Copie à:
M. le Ministre Simon
M. le Ministre Simon
M. le Ministre Kissinger
M. Greenspan
M. Lynn
M. Seidman